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mardi 23 octobre 2007

761 - La déchéance du beau sexe

De nos jours la femme occidentale a beaucoup perdu les qualités de sa nature.

Sous prétexte d'indépendance, de libération, et même de liberté tout court, elle a succombé aux moeurs infâmes du siècle.

Sous le règne actuel de la "femelle vulgaire" les bassesses d'hier sont devenues normes. Ainsi ce qu'elle appelle "force de caractère" ou "fierté de femme" n'est en vérité qu'odieuse licence consistant à cracher son fiel en direction des gentlemen, à hausser le ton devant la mâle autorité, affichant sans rougir sa détestable éducation...

Impertinente, impolie, immodeste et dévoyée, elle injurie, outrage, blasphème à la moindre contrariété. D'un geste ou d'un mot, elle signe sa définitive déchéance. Ayant perdu le sens du commerce galant, elle foule de ses talons hauts toute bienséance, n'hésitant pas à publiquement user des termes les plus vils pour qualifier plus beau, plus noble, plus honorable qu'elle. Qu'un bel esprit accorde sa charmante attention à l'une de ces femmes en termes chastes et choisis, pour peu que la chose lui semble incompréhensiblement surannée et lui fasse l'impression d'une délicatesse étrangère à ses us, elle répondra au compliment par l'offense la plus crue.

Un baise-main ? Une formule exquisément courtoise ? Un geste de raffinement ? Une allusion à ses charmes galamment codifiée ? Elle réagira avec la brutalité d'une femme ayant perdu toute décence. Dans les circonstances ordinaires de la vie (métro, rue, établissements d'agrément, lieux de proximités), certaines se permettent même de tutoyer directement leur interlocuteur sous prétexte d'incompatibilité sociale, culturelle, vestimentaire ou d'humeur. Ou tout simplement par pur relâchement.

Et même, comble du comble, de s'octroyer le droit de l'insulter !

La plupart des femmes occidentales aujourd'hui n'ont plus de tenue. Déplaisantes, provocantes, agressives, en accédant à l'argent, au pouvoir, à l'invincibilité, elles ont perdu cette fragilité qui faisait leur gloire, jadis.

Les femmes de classe sont de plus de plus rares. Celles qui au milieu de cette plèbe ont su garder intacts les codes de la séduction et des relations humaines traditionnellement en usage dans le monde -et même plus simplement les codes de la courtoisie élémentaire- n'en sont que plus estimables aux yeux des beaux esprits.

Au contraire des femmes asiatiques et des femmes nord-africaines qui sous le poids de leur culture ont su rester décentes, polies, soumises, respectueuses, aimables, les femmes européennes ayant rompu les liens de la grâce sont de plus en plus haïssables, viles et vulgaires.

14 commentaires:

Anonyme a dit…

Et votre femme dans tout ça, elle est quoi ?

Anonyme a dit…

Je cherchais les mots pour le dire, cela a été admirablement fait par votre personne.
Nos femmes ont été dénaturées, elles ont perdu pour beaucoup tout charme, toute grâce... Rares sont celles qui savent encore en jouer sans tomber dans la vulgarité...

Mais dites-moi, cher Raphael, vous n'êtes pas très prolifique depuis quelque temps. Nous attendons d'autres textes.

Anonyme a dit…

Saladin,

En effet, ces derniers temps ma plume s'est quelque peu exilée du NET. De tous côtés on me demande : amantes, détracteurs, viles et belles personnes, tout le monde réclame les faveurs du maître... Las ! Je n'ai même plus de temps de répondre aux caresses de mes muses.

Cela dit, modestement à travers mes quelques 761 textes actuels j'ai embrassé de près ou de loin tous les aspects du monde -des choses comme des hommes- dans toutes les directions imaginables, du gouffre le plus bas au sommet le plus glorieux, de l'anodin au sublime, de la bête au divin, du simple caillou à qui j'ai donné la parole jusqu'aux feux galactiques que j'ai fait taire devant un battement d'aile.

Sur le plan du palpable je suis parti du microcosme pour me hisser jusqu'au macrocosme, sans omettre de poser mon regard la hauteur des boutons de chemise de mes semblables. Du point de vue des choses de l'esprit j'ai exploré les vices les plus baroques autant que les vertus les moins partagées, je suis allé sonder les petits ruisseaux mentaux de mes frères humains mais aussi les fleuves nocturnes de mes chats énigmatiques.

Je suis allé chercher le feu olympien à droite et à gauche, m'attardant à l'occasion sur mes doigts de pied.

J'ai fait tout un fromage de vos mesquineries de mortels, une montagne de mots des fumées de ce monde, un pâté de sable de vos trésors.

J'ai abordé de près ou de loin tous les thèmes : l'amour, la laideur, la solitude, la vie, la mort, les fraises des bois, les rêves, les cauchemars, l'excrément, la lumière, le houblon, la pourriture, l'encens, l'insignifiance, le grain de sable, les poubelles de mon voisin, les relents gastriques de Jules César, l'encre de Chine, le plaisir, le vinaigre, la douleur, la mer... Tout, absolument tout ce que contient notre pauvre monde et même au-delà a été intégré à mes textes.

J'ai embrassé l'Univers d'un regard à la fois grave et loufoque, limpide et fulgurant, lucide et léger, aérien et "enclumier" : celui de ma plume.

Je vous invite à faire un tour relativement rapide de l'humanité et de l'Univers, de prendre la mesure de tout ce qui existe et n'existe pas en quelques centaines de textes futiles et mémorables, éloquents et sarcastiques, répugnants et délectables, pleins de grains de sel et de justesse.

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

Bonsoir Raphaël,

Je voudrais d'abord te dire que je trouve votre blog plutôt triste, il a la froideur d'une crypte.
Mais bon, les goûts et les couleurs....

Lorsque je regarde les femmes je ne vois pas la même chose que vous, cela va de la plus "voyante" à la plus discrète en passant, pour la majeure partie à des "madames tout le monde" quant à leur aspect vestimentaire ou leurs attitudes.
Les asiatiques ou maghrebines, dont je suis issue se fondent dans la masse et ne sont pas plus respectueuse que les autres.
Je pourrais vous en dire beaucoup plus à leur sujet, mais je n'ai pas le temps dans l'immédiatt.
Je voudrai parler des hommes, où est la galanterie ?
Où sont les hommes qui vous ouvrent une porte, vous laissent leur place dans le bus, vous laisse son taxi alors que vous êtes sous la pluie ?


Je n'ai vraiment pas le temps de m'eterniser alors peut être à plus tard.

Malika

Anonyme a dit…

Raphael, je vous truove tres intelligent, mais aussi desperement complexé. Il est louable de chercher à connaitre le monde qui nous entoure et à nous connaitre nous-mêmes, mais il faut aussi une vie à coté. Vous dissertez beaucoup, et ce dans un style inimitable (que j'adore), mais vivez-vous? Que faites vous dans la vie de tous le jours? Sincerement.

Pour ce qui est des femmmes, je ne suis pas d'accord sur certains points. Les femmes qui ont une certaine sorte de "classe" sont les plus attirantes, mais aussi les moins compréhensibles.
L'amour galant n'existe plus, vive la libération sexuelle, le monde évolue, et les femmes aussi.

Anonyme a dit…

Comme si l'essence des femmes était compréhensible dans vos présents de vérité générale. Les femmes sont vulgaires? vous l'êtes bien plus.

Banalité, médiocrité relant machiste et modernité bonjour.

Anonyme a dit…

Ah j'avais pas lu la fin! du racisme teinté de "bon-sauvagisme" le tout enrobé dans une langue mielleuse et molle. Comme c'est touchant.

Anonyme a dit…

Et l'homme créa la femme, l'évangile selon Izarra.

Anonyme a dit…

Fils de connard, enculé de ta mère. Si jamais je te croise sur mon chemin, je te fais déguster tes parties génitales. Ton cerveau doit être aussi ramolli que ton chibre minuscule. Ta réflexion sort tout droit d'une fosse à purin, nauséabonde et dégoûtante.
Au pote Saladin : "nos femmes"!!! Toi aussi je t'écrase la face contre un mur en crépi, c'est ton esprit qui est dénaturé, malade mental.

Anonyme a dit…

Vous avez complétement raison. Les femmes aujourd'hui sont exactement cela.
Insolentes, haineuses, vulgaires. Et ce qui est encore plus catastrophique c'est que de cette totale liberté relativement nouvelle dont elle bénéficient, elle n'en font rien car elles n'ont sont pas capables.
Inaptes au beau à l'art et à la création, lorsqu'elle entrent en masse dans une discipline, on peut s'assurrer à coup sûr, que cette discipline est morte et que l'aventure, la nouveauté, le pas de plus, se trouve ailleurs, déja bien plus loin.
La femme d'aujourd'hui n'est qu'un esprit vulgaire doté du mode de fonctionnement de la prostituée, celle qui fait monter les enchères...encore et toujours, au plus haut, au plus chèr, au plus vite, au plus jeune...
Toujours moins mère toujours plus séductrice elle fnissent en vieillissant seules et moches car leurs fonds de commerce s'est évaporé à l'arrivée de leurs vieillesse.
Seules et moches, elle finissent aussi grotesques, ridicules, hideuses défigurées par des opérations de chirugie esthétique, s'acharnant à tenter de sauver de la décrépitude cette paire de seins cette bouche ou ce visage qui n'a été que pendant leurs vie que le fondement.
Pauvres femmes d'aujourd'hui et de demain, réduites à une addition de prothèse qui ne sufisent même plus à dissimuler la vacuité de leurs être et le peu de noblesse de leurs mode de fonctionnement.
Seule, moche, grotesque, la femme d'aujourd'hui et de demain fnira même par se faire bouffer ses économies par un vieux gitant ou un sans papier...

Anonyme a dit…

Romain,

Vous êtes un bel esprit, assurément. Ce qui est rare à notre époque.

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

les femmes font ce qu'elles veulent de leur cul, allons messieurs, allez epluchez vos patates. si vous n'etes pas contents, engagez un flic pour surveiller chaque gonzesse ou faite comme le prophète mahomet, vous leur faites mettre un voile sur la tronche, sinon lacher leur la grappe.

Anonyme a dit…

ce qui est surprenant dans cet article, ce n'est pas le machisme (pour employer un euphémisme) mais plutôt les commentaires de l'auteur comme celui-ci:
"Vous êtes un bel esprit, assurément. Ce qui est rare à notre époque."
Donc, On est bien quand on pense et écrit comme lui

Anonyme a dit…

Bonjour Anonyme,

Votre remarque est pour le moins hasardeuse. Elle manque singulièrement de justesse...

Hâtive, irréfléchie et, il faut bien le reconnaître, sotte déduction !

Raphaël Zacharie de Izarra