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lundi 5 mai 2008

785 - La soumission naturelle de la femme


(Photo : le dieu Priape ou la phallocrate autorité)

La femme naît soumise. Son destin est d'être enchaînée à la virile autorité. Malheureusement la société a perverti la femme, avec la complicité du mâle dévirilisé.

Notre monde occidental obsédé d'égalité et de modernité nie bêtement ce principe naturel. Ainsi la femme dénaturée se croit libre sous prétexte qu'elle vote, conduit, boit, fume, jure, crache... Or la vraie liberté de la femme est de se contenir sous la coupe de l'homme. La femme n'est véritablement femme que lorsqu'elle ne sort pas de son rôle, qu'elle demeure sur le trône où l'a placée sa naissance : à mi hauteur entre le mâle et la casserole.

Quoi de plus détestable, de plus vulgaire qu'une femme qui ignore les préceptes les plus élémentaires du savoir-vivre et qui se rebelle contre les lois cosmiques ? Une femme de classe sait se taire, se placer dans l'ombre pour laisser la lumière éclairer son maître. La femme digne de ce nom aime faire valoir son seigneur. Je sais bien que, à l'heure où tout le monde trouve normal que la femme moderne -que j'appellerais volontiers "dégénérée"- cherche à humilier l'homme au lieu de lui faire honneur, mon propos semblera insupportable...

La société est à ce point corrompue par la dictature de la vulgarité féminine, par l'hystérie générale faite autour de l'égalité contre nature des sexes, que prétendre que la femme doit élever l'homme et non l'écraser, le célébrer et non le maudire, le servir et non l'opprimer passe pour un crime aux yeux de la plupart des gens !

La femme de par la volonté céleste, terrestre, cosmique et même atomique est soumise à l'homme de la même façon que la lune est soumise à l'attraction de la Terre.

Toutes les femmes sont soumises.

Beaucoup l'ignorent tant notre société frileuse, molle, éprise de nivellement envers les êtres (qu'elle appelle "égalité") a formaté leur cervelle dans le sens du sexuellement faux. Certaines se croient autonomes, insoumises, libres parce qu'elles gagnent leur vie seules, vivent en solitaire, ont remplacé la présence souveraine et magistrale de l'homme par un vulgaire salaire. Voire son phallus par une prothèse en plastique qu'ont réussi à leur vendre des professionnels du marketing exploitant le filon de la "femme libre". Bref, loin de l'autorité de leurs seigneurs et maîtres, les "femmes libres" mènent des existences vides qu'elles meublent avec de la vanité.

Elles ont beau arborer des apparences de liberté triomphante, dans le secret de leur âme elles restent des femmes, fondamentalement. Même si elles l'ignorent, s'en défendent, se rebellent. Le mensonge social ne résiste pas devant la force, l'éclat, l'évidence de la Nature qui dicte à la femme ses lois justes, belles, vraies.

Il suffit juste que la femme cesse d'alimenter son sot orgueil, renonce à adopter les modèles artificiels de cette société pour que la nature sur elle reprenne ses droits et que tout aille pour le mieux dans le plus ordonné des mondes.

13 commentaires:

Anonyme a dit…

"Une femme de classe sait se taire, se placer dans l'ombre pour laisser la lumière éclairer son maître."

Monsieur l'auteur , je vous rejoins intégralement dans cette idée. Il est préférable à la femme de se taire, car si malencontreusement elle prenait la parole, c'est sur elle que la lumière divine rejaillirai. N'a-t-elle pas été élue pour recevoir le pouvoir suprême ? Celui qui est supérieur à la prétentieuse parole. Mais si ! Réfléchissez...
Elle ne se sait pas le droit d'inverser l'ordre du monde. Sans Elle, plus de petits d'hommes ! Ainsi sage, elle préfère laisser croire à l'homme, au regard de sa société machiste, qu'il est le maître. Ce serait mesquin de lui retirer son rêve. Il n'a que ça comme jouet ce cher bambin !
Mais lorsque cette femme ordonne à l'homme, dans leur intimité retrouvée: "ferme les volets" le maître redevient le gentil toutou soumis et obéissant de madame jusqu'au bout de la nuit.
Et lorsqu'elle lui dit: "fait le beau ! " le maître obéit...
Alors oui, la femme doit préférer la vérité lumineuse de l'ombre à l ensolleillée vanité vaine de l'homme.
Nous constatons donc, que l'égalité entre les hommes et les femmes est un leurre. La femme est utile ! Dois-je dire : Supérieure de par sa différence fondamentale...

Au plaisir,

Amazone

Anonyme a dit…

Bonjour Amazone,

Je n'ai jamais parlé de SUPERIORITE ou d'INFERIORITE dans mon texte, si vous lisez bien. J'ai parlé de soumission naturelle de la femme à l'homme. Une affaire de gêne donc, et non de culture. De plus ce que vous dites sur mon propos peut tout aussi bien s'appliquer à votre thèse. C'est l'éternelle histoire de la bouteille à moitié vide.

La tentative de prise de pouvoir par la gent femelle est bien réelle, contre nature et par conséquent odieuse. Les femmes dignes de ce nom aiment se soumettre à l'homme. Les rebelles sont des hérétiques, des dégénérées de la cause nuptiale.

Est-ce respecter la femme que de l'envoyer à l'usine, au bureau, régler la circulation et de lui faire croire que son bonheur sera à la hauteur de son salaire ? La soumission de la femme à la l'homme consiste à lui épargner la déchéance du salaire et non de singer sa condition. Les infirmières, les institutrices sont utiles. Ce sont des métiers spécifiques de femme comme le métier de bûcheron est un métier masculin.

L'intérêt de la femme est de ne pas être obligée de travailler pour gagner sa vie. Le vrai esclavage, c'est le travail obligatoire pour la femme. La nature a donné la beauté à la femme, ce n'est pas pour aller la dégrader à l'usine ou aux champs ! Seules les laides devraient pouvoir se corrompre à l'usine, ces êtres n'ayant point hérité de la beauté n'ont rien à perdre.

Je suis un phallocrate convaincu, autrement dit un authentique progressiste, un esthète soucieux de la préservation de la beauté des femmes et non de leur indépendance dans l'abrutissement.

Pour conclure j'ajoute que la plupart des caissières et des charcutières sont infâmes, vulgaires, déchues de leur féminité à force d'avoir trop fréquenté les gros moustachus de leur entourage.

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

La soumission (disposée à l'obéissance) serait donc selon vous, une affaire de gêne et non de culture. Intéressant mais
stupide !
Les nouveaux-nés, un garçon et une fille naissent nus et égaux. Éduquez la fille qu'avec des notions de machisme et vous verrez bien à l'âge adulte, si la soumission est toujours dans ses gênes.
Cela dit, je reconnais que la prise de pouvoir par la gent féminine est bien réelle mais pas plus que vous , je la trouve souhaitable. La nature, en offrant à la femme le pouvoir d' enfanter, l'a promue à la plus illustre fonction. Il est donc logique que le mâle s'oblige au labeur pour nourrir la femelle et sa progéniture. Dame nature a su distribuer les rôles équitablement. La femme n'a pas à être soumise à l'homme, pas plus que l'homme à la femme. Ils ont besoin l'un de l'autre d'où leur complémentarité.
Le machisme n'existe que dans les livres et se perpétue à cause de la faiblesse intellectuelle des hommes. Ils en ont tant abusé, que la femme actuelle désireuse de ce mirage est en train de les dépasser.

Comment dit-on "machiste" au féminin ? Femme , tout simplement...

Amazone

Anonyme a dit…

Amazone,

Vous êtes soumise à la dictature de l'égalité contre nature, soumise aux lois du marché dictées par les hommes, soumise à la pensée "étatique" et dégénérée consistant à croire que votre bonheur est de singer les mâles sans en avoir les attributs.

La liste de vos soumissions peut être encore longue... Je vous l'épargne, ces simples évocations devraient suffire à vous convaincre que la société a fait de vous un pantin femelle, un rouage de son économie hystérique, de son système à vue faussée.

C'est comme si je prétendais vouloir être à la hauteur des femmes dans leur bornes, leurs spécificités, leurs féminité... Je ne suis pas une femme et les femmes ne sont pas des hommes. La place de la femme est dans l'ombre de l'homme. Ce n'est pas criminel d'affirmer cette vérité. Quel homme serait assez sot ou dénaturé pour revendiquer le droit d'être traité comme une femme ?

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

L'égalité que je revendique n'a rien de contre nature. Nous sommes hommes et femmes nés égaux. La loi des hommes, par crainte (fondée...) a dévié le processus originel. En donnant à la femme le qualificatif de faible et à l'homme le qualificatif
de fort, ils n'ont rien fait d'autre que de ralentir le mouvement. Mais ces deux qualificatifs ne concernent que l'aspect physique de ces êtres.
Car la nature est là qui veille et se réveille de sa léthargie millénaire. Gare aux prochaines années. La femme veut retrouver sa position. L'homme, est en train de se ratatiner pendant que la femme se régénère.
Le moindre labeur l'exténue, il ne pense qu'à penser . L'homme est devenu raleur comme la femme. Il se plaint de tout. Du temps, des patrons, des copains, des voisins, des femmes modernes...
L'homme actuel accomplit les tâches ménagères et se vante de cette "évolution" de sa condition.

"Quel homme serait assez sot ou dénaturé pour revendiquer le droit d'être traité comme une femme ? "
Mais la majorité d'aujourd'hui Monsieur ! Sortez de chez vous et espionnez !

Amazone

Anonyme a dit…

J'ai oublié

Les rayons de produits d'esthétiques sont devenus aussi nombreux pour homme que pour femme. Chacun à ce jour à sa petite crème pour le visage ou pour le corps L'homme , dans le soin du corps cherche à égaler la femme. Il veut devenir aussi soigné et beau qu'elle. Il est mal barré ! L'homme se médicamentalise pour un petit bobo aussi souvent que la femme.
Et vous appelez ça des mâles !!! ils ne vont obtenir que ce qu'ils méritent.

Amazone

Anonyme a dit…

Remarquez qu'en matière d'évolution, les cultures archaïques et machistes qui prônent la soumission de la femme sont restées au stade moyenâgeux et sous-développé, voire dans la misère.

Dans la nature, comme tout le monde le sait, les parades nuptiales président à l'acte copulatoire. C'est de cette manière que s'effectue la sélection sexuelle génétique donc quelque part le progrès. baiser uniquement pour baiser n'intéresse pas le mâle sinon le viol serait une règle majeure, la vanité naturelle du mâle est beaucoup plus puissante que le jeu d’hormones qui l’animent, il ressent le besoin de prouver sa valeur pour le bien de l’espèce en se lançant dans la compétion.

Impossible pour une femelle de faire son travail de sélection que lui a dicté la nature, si elle n’était pas libre, sous peine de voir l’espèce dégénérer et le mâle dormir sur ses lauriers.

S'il y avait bien une loi naturelle (sous-entendu divine) à respecter, c'était bien celle-là, par conséquent la LIBERTE de la femme. Erronées, dégénérées et hérétiques, les sociétés patriarcales ont entravé cette sélection en la rabaissant socialement c'est à dire en lui retirant le droit à la parole, à la liberté et au choix, bref en la cantonnant dans le rôle de « sois belle et tais-toi, et pond pour la collectivité une dizaine de marmots » pour prouver la virilité de n’importe quel péquenaud. Bref, nulle doute que ce genre de société est vouée à la déliquescence.

Pour ce qui est de l’esclavage de la femme par le travail, les capitalistes ont aussi ignoré cette loi et ont préféré exploiter son image bien sûr largement plus attrayante et esthétique que celle de l’homme, dans le but de vendre un pot de yaourt ou une bagnole ou en la faisant bosser à l’usine, donc la sacrifier sur l’autel du profit.

Alors moi je dis : vive la femme libre! mais je pense qu’il est trop tard, les dégâts ont l’air irrémédiables.

Ce qui est certain, l’homme usurpateur de pouvoir n’a rien compris, on peut résumer sa situation ainsi : échec et mat. Il a foutu le plan divin en l’air (pour les croyants).

Anonyme a dit…

"Alors moi je dis : vive la femme libre! mais je pense qu'il est trop tard, les dégâts ont l'air irrémédiables.
C'est dramatique, mais c'est une évidence !
La faute à qui ? A la femme actuelle qui confond ambition et arrivisme. A l'homme qui se trouve dépasser par les évènements. ( Un peu comme la loi qui se trouve dépasser par Internet.)

La femme dite libérée pullule. Sous couvert de cette appellation qu'elle trouve flatteuse elle s'est rajoutée des contraintes au fil du temps. Quel paradoxe ! La femme libérée multiplie ses chaînes aux pieds. Mais ce n'est pas le seul de paradoxe. Socialement et difficilement la femme se hisse et sexuellement , mais aisément, elle s'enlise. Entendre pas là la pratique de soumission devenue courante de la sodomisation. Hé ! oui c'est ça l'évolution. La fellation aussi a eut son heure de gloire en son temps. Mais aujourd'hui, elle est devenue d'un banal !

Une journée fait toujours 24 heures. Ces dites super-women trouvent le temps de remplir une activité professionnelle, d'entretenir (à temps perdu) leur maison, d'éduquer ( à temps trouvé) leurs enfants, de baiser (entre la cuisine et le salon ) leur mari. A cela, il faut ajouter, les loisirs de madame qui eux aussi se sont multipliés: Lèche-vitrines, lèche-musées, sport de remise en forme, théâtre, cinéma etc.
Mais Madame dans tout son bastringue trouve qu'on lui en demande trop... Qu'elle est sous-payée dans son activité professionnelle, que son mari ne la comprends pas et pense qu'à ça lorsqu'elle rentre épuisée le soir, que ses enfants lui volent sa jeunesse, qu'elle a toujours trop à faire dans sa maison entre la lessive et la cuisine. Que c'est pas à elle de sortir les poubelles...

Mais heureusement pour tout ce petit monde, Madame a gardé un atout dans sa manche: l'amant est là qui sait résoudre toutes ses questions existentielles. Celles du haut et celles du bas: C'est communicant ce bazar !

Je déplore que les combats de féministes (Simone de Beauvoir, Simone Veil etc.) n'aient pas été compris par les femmes.
A croire qu'elles se sont battues toute leur vie pour rien !


Amazone

Anonyme a dit…

Cher aristocrate décadent,

Je m'interroge sur le but des articles que vous écrivez; sont-ils le fruit de convictions profondes ou du désir de provoquer?

Une chose est certaine, ils sont d'un goût exquis pour celui qui sait apprécier l'absurdité de l'humanité, tous sexes confondus. N'étant ni misandre ni vulvocrate, je juge nécessaire de ne pas m'abaisser au niveau de clivages simplistes et de rapports de force désuets.
Votre prose est en tout cas délectable tant vous semblez sortir d'un roman de J.K Toole!
Prenez soin de vous cher Ignatus et tâchez d'établir quelques connections neuronales de plus afin d'atteindre cette noblesse que vous revendiquez tant. Vous, qui attribuez si humblement à de sombres inepties le statut de vérités et d'éclats de l'esprit.
Pour finir,Nietzsches a dit que la conviction est l'ennemi de la vérité; tentez de prendre exemple sur cet illustre misogyne ou tâchez au moins de vous faire contaminer dans les plus brefs délais par le treponem pal. Qui sait si ça ne remettrait pas vos idées en place de sombrer dans une folie vénérienne.

Cordialement Shambles.

Anonyme a dit…

Bonjour Shambles,

Pour vous répondre avec brièveté et éclat, je dirais que JE SUIS UN VIVANT ROMAN.


Ceci devrait satisfaire toutes vos interrogations à mon sujet.

Raphaël Zacharie de Izarra

Anonyme a dit…

Où se cachent les mâles superbes dominant nos femelles passions ?
les champs de l'Olympe sont loin
devrons-nous attendre leurs mains orphiques du fond de nos enfers ?
las

Anonyme a dit…

Monsieur, je m'en fous de cet article en particulier. Je te trouves lâche et un peu ridicule, comme tous les dandys qui sont nés après les années 30. C'est tellement facile de calquer son état d'esprit sur trois quatre auteurs, comme ça... Sauf que t'as pas fait la guerre, qu'on te butteras pas à la libération et que tu passeras toute ta vie à faire croire aux autres que tu te sens supérieur. Si tu l'étais vraiment tu vivrais ce que tu écris, d'ailleurs. Mais même si tu l'es pas, c'est pas encore trop tard pour le faire et t'amuser, au lieu de travailler ton image.

(je repasserais pas après ce commentaire, c'est juste l'avis d'un bouseux, inutile d'y répondre)

Anonyme a dit…

Tout vient d'une erreur: "contre nature et par conséquent odieuse". Ce sont très propres mots. Ils ne sont ni "indéfendables", ni "infâmes", ni "monstrueux", ni "rappelant les heures les plus noires de l'Histoire": ils sont simplement faux.
Contre-nature: tout! La sécurité sociale, c'est contre nature. L'appartement chauffé, c'est contre-nature! Un David de 4 mètres en marbre blanc, c'est contre-nature! Un enfant qui naît sans avoir 50% de risques de mourir, c'est contre-nature! Le Taj Mahal, c'est contre-nature, bon dieu!
Un raisonnement, une affirmation, un murmure qui prend la nature pour modèle et, surtout, qui condamne la culture quand elle contre la nature (du verbe contrer) ne peut être que faux. Partant de là, on explique facilement pourquoi ton article est rempli de sottises.