Les fêtes de Noël et du nouvel an approchent avec leurs lots d'immortelles imbécillités.
De quoi satisfaire les incorrigibles abrutis de la Terre.
Je ne trouve aucune excuse aux victimes consentantes de cette annuelle mascarade, aux adeptes convaincus de ces sempiternelles libations gastronomico-rien-du-tout. Pas même celle de la cause enfantine. Surtout pas cette excuse !
L'homme du commun me fait pitié, me dégoûte, m'afflige. Le vulgaire qui affectionne tant la nullité, la bassesse et la bêtise ne mérite de ma part que mépris. Mais un mépris salutaire, pédagogique, rédempteur car, contrairement à ce que mes sentiments faussement misanthropes pourraient laisser croire, je ne désespère pas de ceux qui, de par leur nature humaine, sont nécessairement nés avec un potentiel stellaire.
L'âne bipède empêtré à ce point dans son fumier est-il encore apte à l'élévation ? Certes je le crois. Sinon je ne lui assènerais pas mes coups de bâtons izarriens, inlassablement. Je suis un saint. En faut-il de la patience, de la force, de la foi dans les hauteurs pour supporter les braiments de mes frères humains ! En tant qu'esprit supérieur je me dois de dénoncer la criminelle ineptie de mes semblables. Mon prochain est un porc. Et je souhaite redonner sa dignité à mon contemporain déchu.
Je ne demande pas à ces dégénérés de fin d'année qu'ils soient parfaits, vertueux, sans défaut. J'aimerais juste qu'ils sachent qu'ils sont des porcs.
Simplement leur ouvrir les yeux.
Ne serait-ce pas le plus beau cadeau de Noël que nous les beaux esprits nous aimerions faire aux hommes ?
Alors je dis : joyeuses fêtes de fin d'année les porcs !
De quoi satisfaire les incorrigibles abrutis de la Terre.
Je ne trouve aucune excuse aux victimes consentantes de cette annuelle mascarade, aux adeptes convaincus de ces sempiternelles libations gastronomico-rien-du-tout. Pas même celle de la cause enfantine. Surtout pas cette excuse !
L'homme du commun me fait pitié, me dégoûte, m'afflige. Le vulgaire qui affectionne tant la nullité, la bassesse et la bêtise ne mérite de ma part que mépris. Mais un mépris salutaire, pédagogique, rédempteur car, contrairement à ce que mes sentiments faussement misanthropes pourraient laisser croire, je ne désespère pas de ceux qui, de par leur nature humaine, sont nécessairement nés avec un potentiel stellaire.
L'âne bipède empêtré à ce point dans son fumier est-il encore apte à l'élévation ? Certes je le crois. Sinon je ne lui assènerais pas mes coups de bâtons izarriens, inlassablement. Je suis un saint. En faut-il de la patience, de la force, de la foi dans les hauteurs pour supporter les braiments de mes frères humains ! En tant qu'esprit supérieur je me dois de dénoncer la criminelle ineptie de mes semblables. Mon prochain est un porc. Et je souhaite redonner sa dignité à mon contemporain déchu.
Je ne demande pas à ces dégénérés de fin d'année qu'ils soient parfaits, vertueux, sans défaut. J'aimerais juste qu'ils sachent qu'ils sont des porcs.
Simplement leur ouvrir les yeux.
Ne serait-ce pas le plus beau cadeau de Noël que nous les beaux esprits nous aimerions faire aux hommes ?
Alors je dis : joyeuses fêtes de fin d'année les porcs !
7 commentaires:
La qualité a baissé par ici
J'ai lu votre présentation. Vos oeuvres ne peuvent être modestes si vous avez des diamants. Il faut vous décider, car vous n'êtes pas cohérent. Soit vous n'avez pas de diamants, soit vos oeuvres sont des diamants aussi.
Je vous ai répondu sur mon blog, voici ma réponse, concernant votre obsession ;
Dommage de se passionner pour de telles futilités quand il y a tant à voir, à comprendre et à faire.
Si vous lisez ma réponse, je vais vous raconter une petite histoire.
Lorsque j'étais au lycée, en seconde, j'avais des camarades assez créatifs qui, avec beaucoup moins d'investissement que vous, firent une sorte de blague très piquante à notre prof de français, qui, par ailleurs, était une dame vraiment sympathique. Mais du moins il y a une leçon à en tirer.
Chacun devait présenter un exposé sur un poète aimé. Je choisis Rimbaud et fis sagement mon exposé. Des camarades choisirent de présenter Boris Vian poète. Ils firent donc leur exposé, lurent un poème de Vian et commencèrent son analyse littéraire, sur la forme et le fond.
La professeur, qui était une prof passionnée, ce qu'on ne saurait lui reprocher, bien au contraire, se mit à discuter et à corriger leur interprétation. Du haut de sa science magistrale, elle expliqua comment il fallait interpréter le poème qu'ils avaient lu, et contra leurs interprétations par les siennes.
Or, une fois le cour achevé, ils révèlèrent leur coup : ils étaient les auteurs du poème !
A vous de méditer sur l'histoire.
Bonsoir Anonyme,
J'ai lu votre commentaire mais que dois-je en déduire ?
Il est tard, IZARRA est un astre qui a ses humaines faiblesses et temporelles petitesses, lui aussi...
Raphaël Zacharie de IZARRA
Qu'en déduire ? Que la littérature n'est pas une science, de toutes façons.
Je m'interroge sur votre nom, qui ne parait pas courant. Il serait intéressant me semble t-il de lire un billet de vous parlant de cela : d'où vient ce nom, que signifie t-il ?
Bonjour Claire,
J'ai répondu à la question que vous vous posez dans un de mes textes, le numéro 8 intitulé "QUI JE SUIS".
Raphaël Zacharie de IZARRA
Bonsoir RZDI
Je n'ai pu trouver votre texte n°8, je ne vois que 2007 et vous en étiez déjà aux 700 et quelques.
Claire
Claire,
Pour lire les textes à partir du numéro 1, cliquez sur 2007, les 700 et quelques autres textes précédents apparaîtront.
Pour répondre à votre seconde question la réponse est à travers mes textes, tout simplement. Et concrètement.
L'auteur fait une partie du travail, au lecteur de faire l'autre partie. A lui de s'éveiller aux merveilles que je lui révèle.
Raphaël Zacharie de IZARRA
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